Depuis toute petite, au petit-déjeuner j’ai toujours eu l’habitude de boire un chocolat au lait (hors de question pour moi de boire du café ou du thé) et de l’accompagner d’une tranche de pain beurrée avec du miel ou des céréales Nesquik.

Et puis, j’ai grandi gustativement parlant. Par contre, je bois toujours mon petit chocolat chaud au petit-déjeuner, mais je l’accompagne de céréales. Et des céréales corn-flakes (c’est pour la ligne).

Et j’annonce tout de suite la couleur. Les céréales je les mange molles, voire extra-molles.

Mais en fait, la question qui me turlupine en ce moment est de savoir si vous préférez manger vos céréales molles ou croquantes/croustillantes.

Il paraît que les mangeurs de céréales croquantes ont à peu près trois minutes (on clique) pour manger leurs céréales au moment où ils les recouvrent de lait/de thé/de chocolat chaud (rayez la mention inutile).

C’est scientifique. Soit, lorsque les croqueurs mangent leurs céréales au petit-déjeuner, ils doivent se munir d’un chronomètre pour ne pas dépasser ces 180 secondes pour les manger ! À partir de là commence la course aux céréales.

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1) Tu reliras les 4 tomes de la saga Stephenie Meyer, pour raviver ta mémoire Twilightienne.

2) Tu acheteras le DVD collector de Twilight Chapitre 1 et tu le visionneras au complet la veille de la sortie officielle de Twilight Chapitre 2.

3) Tu essayeras de dégoter des places pour l’avant-première à Paris dans le but d’essayer d’apercevoir les acteurs du phénomène Twilight tel que Robert Pattinson, Kristen Stiwart ou Billy Burk.

4) Tu iras voir le film Twilight chapitre 2 : Tentation le 18 Novembre, jour officiel de sa sortie en France.  Tu essayeras de camper devant le cinéma pour être au premier rang.

5) Tu te déguiseras en Bella Swan ou en Rosalie Cullen le jour de la sortie de Twilight Chapitre 2.

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Et c’est demain. (écrire cette phrase sur le clavier m’a véritablement écorché les doigts) (aie, ouille).

Les vacances sont finies. Je fais d’ailleurs ma pré-rentrée à la faculté de droit demain à 10heures.

Comment ça « faculté de droit »  entends-je dans le fin fond de la salle ? Et alors qu’est devenu le fameux projet préparatrice en pharmacie et le plan B du BTS ?

Pour tout vous dire, j’ai échoué vulgairement et malgré le fait de m’y être prise à l’avance, de m’être inscrite sur post-bac et d’avoir fait de nombreux vœux.

Pour les études de préparatrice en pharmacie, je suis en attente d’une réponse d’un maître d’apprentissage. J’aurai donc une réponse positive (embauchez-moi pitié Monsieur le pharmacien !) ou une réponse négative le 30 Septembre.

Nonobstant  il y a un point positif dans cette histoire… Le pharmacien qui me doit une réponse pour mon contrat va faire des travaux dans sa pharmacie. Alors soit il me prend cette année (et ça serait supermégacool) soit il m’embauche l’année prochaine.

Puis pour le BTS communication des entreprises… ben j’ai du démissionner car je n’avais aucun moyen de transport pour y aller. Ce n’est pas fameux n’est-ce pas ?

Et donc après ces péripéties (est-ce que je vous ai perdu en route ?), j’ai opté pour faire une année de licence en droit pour ne pas arrêter les études. Pour ne pas sortir du système scolaire.

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Si on me demandait de répondre à la question « quelle est ton dessert préféré ? », je répondrai sans réfléchir et sans hésitation la tarte au citron meringué. Avec une meringue beaucoup plus épaisse que la tarte au citron. Et je mangerai en premier la meringue pour finir par le meilleur.

Et puis Sephora a accompli mon rêve chouchou, celui de créer une gamme entièrement consacrée au parfum citron meringué. Entre le baume corporel, le sucre, la crème lavante, le shampoing et j’en passe et des meilleurs, je suis totalement ravie.

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Depuis mon entrée en troisième, la période historique de la Seconde Guerre mondiale m’a grandement passionnée.

J’étais fascinée et captivée par les années 39-45, puis intéressée et touchée par les élans de solidarité des hommes, du courage que faisaient preuve les résistants et les maquisards.

Mais à la fois choquée et bluffée par la haine, la barbarie humaine que faisaient foi certains d’entre eux.

Et d’ailleurs, c’est pour toutes ces raisons que je suis en quête de nombreux reportages relatant les faits de cette grande guerre. Que je suis à la recherche de nombreux livres, des mémoires, des journaux intimes, des correspondances… qui abordent tous la Seconde Guerre mondiale sous toutes ses coutures, mais de manières différentes.

Même que je boude lorsque je manque au devoir d’en apprendre plus sur cette période, soit quand je rate un reportage tel que : les crimes nazis diffusé récemment sur Arte.

Même que j’ai été fière quand je suis arrivée deux années de suite 2ème régional au concours de la Résistance et de la Déportation organisé pour les lycéens et les collégiens.

Même que j’ai jubilé lorsque j’ai découvert par le plus grand des hasards l’existence d’une série française sur l’occupation et la collaboration française : Un village français.

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