L’autre jour, alors que je faisais un tour dans ma librairie favorite, mes yeux n’ont fait qu’un tour quand je suis tombée nez à nez sur la couverture de ce manga.

À la base, j’étais à la recherche d’un livre qui puisse me permettre de renouer avec le plaisir de lire que j’ai perdu depuis… très très longtemps. Voire trop.

Alors je me suis dit qu’en faisant un tour dans une librairie, j’allais peut-être remédier à ce tracas.

Et j’ai craqué sur ce manga rien qu’en voyant la couverture.

En général, il m’en faut un peu plus pour me décider à acheter un livre.

Par exemple, lire la 4ème de couverture ou commencer un tout petit peu à bouquiner quelques pages. Si le style d’écriture ne me plaît pas au départ, je referme le livre.

Mais j’ai abandonné toutes mes petites habitudes littéraires : j’ai attrapé les trois premiers tomes de Chi une vie de chat et suis passée à la caisse.

Et bien, il faut bien avouer que j’ai bien fait ! C’est sûr ce n’est pas de la grande littérature, puisque c’est un manga.

Malgré cela, j’ai passé des jolis moments de complicité avec Chi, en découvrant ses pensées, ses manies, ses bêtises, sa famille d’adoption, ses nouveaux copains etc.

Kanata Konami nous conte l’histoire de son manga : dans les moments difficiles, les moments de peine ou de joie, il faut toujours donner le meilleur de soi-même. C’est le secret d’une vie réussie ! Chi est toujours à fond dans tout ce qu’elle fait. Elle a perdu sa maison, sa maman, ses frères, et pourtant elle est toujours animée par une joie de vivre à toute épreuve. C’est ce qu’il y a de plus important, ne jamais se laisser abattre. Même si son quotidien est monotone, le fait de le vivre à 100% permet de l’illuminer.

Chi, une vie de chat, je vous rassure, ce n’est pas que pour les enfants !

Mais c’est aussi pour ceux qui ont un chat à la maison, les passionnés de chat ou tout simplement pour ceux qui veulent passer un petit interlude en compagnie d’un chat !

Bonne lecture !

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Depuis que j’ai déménagé chez MonsieurGruyère dans le Nord de la France, j’ai troqué trois kilos de poils contre dix kilos de poils.

Soit un lapin contre trois chats. Un petit animal de compagnie contre trois boules de poils, des machines à câlins, des machines à ronronnement, des machines à déversement régulier de poils.

Et pour tout vous dire, c’est assez ennuyeux d’avoir des poils collés aux vêtements, d’autant plus que ma garde-robe est composé à 99,9% de noir.

Alors j’ai l’air vraiment ridicule lorsque je me promène dans les rues piétonnes avec mes vêtements remplis de poils de chats. C’est pour cela que j’ai décidé de contre-attaquer, parce qu’il est clairement impossible que je repousse ces boules de poils lorsqu’ils réclament un câlin.

Et donc, voici les solutions que j’ai choisi face à l’extermination totale des poils de chats sur les vêtements (solutions conçues spécialement pour les vêtements noirs) :

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Quand quelque chose commence, on ne sait généralement pas comment ça va finir. Soit au commencement était le verbe et le 4 Août 1989 je vis le jour.

Et là, incontestablement je découvris pour la première fois le sens du mot amour. L’amour filial, l’amour qu’une fille ressent pour sa mère.

Moments tendres, émotions et anecdotes sont les ingrédients essentiels qui composeront ce premier amour et qui évoluera au jour le jour de notre relation.

Et puis, vint au tour de l’amour fraternel de naître en moi. L’amour envers ma Soeurette, de 3 minutes mon aînée. Un amour qui fut parsemé de difficultés, de jalousie, de disputes, de batailles. Mais aussi de véritable moment de partage, de rigolades, de nombreux fous rires…

Alors s’installa devant moi un panel captivant dans la palette de l’amour. De nombreux types d’amour toujours aussi frappant et étonnant les uns que les autres : l’amour paternel, l’amour familial, l’amour des autres…

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Qui n’a jamais regardé un reportage animalier du type Ushaïa nature ou Chasse et pêche sans être totalement obnubilé par la télévision ?

Pas moi en tout cas.

Les reportages animaliers ont des effets néfastes assez considérables sur moi et plus particulièrement quand je suis malade.

Et donc pendant les vacances de Février j’étais malade. Et quand je le suis c’est une horreur, parce que je suis une petite nature. Je suis en position de campement sur le canapé ou sur le lit pour regarder la télévision. Je me coltine donc tout le programme qu’il soit bon au mauvais. Documentaire ou pas.

En fait, je n’aime pas trop regarder les documentaires et encore plus quand il s’agit d’animaux. Je préfère largement Dr House ou Koh-Lanta.

Mais on ne choisit pas de regarder ce type de reportage. C’est un fait indéniable qui a été démontré par a+b. Parfois on zapouille avec la télécommande pour trouver un programme télévisuel correct et on tombe nez à nez sur Ushaïa nature par exemple.

Et là c’est la catastrophe.

Catastrophe que j’ai testé pendant ma convalescence. Je vous raconte.

Je ne sais pas si vous avez remarqué mais dans la semaine, il y a forcément un soir où il n’y a rien à la télévision. Mais quand je dis rien, c’est vraiment rien. Ce n’est pas comme le soir, où l’on peut mettre ce programme en fond sonore histoire d’allumer la télévision.

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21h00 : Je me réveille doucement. Après une bonne longue nuit de sommeil je suis tout engourdi, j’ai faim, j’ai soif et mon pelage est tout humide (j’ai encore cauchemardé, j’ai eu des sueurs froides). Il faut que je sorte !

21h10 : Première sortie de ma journée. Je m’étire de toutes mes forces et je baille. Ma petite maîtresse est devant son ordinateur, comme tous les soirs, mon maître également. Je ne sais pas ce qu’il leur trouve à cette machine, ils ont toujours du mal à s’en défaire pourtant je suis là moi, ne suis-je pas plus intéressant que ce foutu pc ? Tant pis pour eux. Bon direction le pipi room ça commence à urger là.

21h15 : Voyons voir ce qu’il reste à manger… (grosse déception) Il ne reste plus grand chose de bien bon, des petites graines de blé et des espèce de petites croquettes, c’est pas terrible. Il faut que je retourne voir mes réserves dans ma cabane.

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