Fêter la Saint Valentin ou ne pas fêter la Saint Valentin, telle est la question…
Et pour tout vous dire chez nous, on n’est plus vraiment du genre à fêter la Saint Valentin. Tout commença au début de notre histoire d’amour, pour notre première Saint Valentin, on s’est envoyé une lettre d’amour endiablée et enflammée (presque inflammable). Je l’ai tellement lu et relu qu’à force, je commençais à la connaître par coeur. C’était l’amour fou. (air de violons)
Puis pour notre deuxième Saint Valentin (ou la troisième), je lui ai envoyé une lettre (toujours enflammée et endiablée) ainsi qu’une boîte de chocolats. Sauf que. Ben oui, il y a forcément un hic. MonsieurGruyère, lui, avait totalement ommis la fête des amoureux. Je l’ai eu mauvaise pendant quelques jours, je peux vous le dire.
Alors maintenant on est plutôt du genre à boycotter la Saint Valentin (et la Saint Glinglin). On se dit que c’est une fête commerciale, qu’on en fait un raz- de-marrée à la télévision, à la radio et aux informations, qu’on n’a pas besoin du 14 Février pour se prouver notre amour. (excuse totalement irrecevable, je le confesse)
Mais qui refuserait de recevoir un joli cadeau, je vous le demande. Hein, qui ? Certainement pas moi. (attention, message subliminal)
Alors quand Marionnaud propose des coffrets cadeaux, et bien moi je craque littérallement.
La question « qu’est-ce qu’on mange ce soir ? » est toujours d’actualité. Alors l’autre jour, avec MonsieurGruyère, on a arpenté les rayons cuisine et plats cuisinés de Auchan pour satisfaire notre quête.
Et très rapidement, on a craqué pour les kits à préparer Old En Paso. Déjà parce que les kits sont préparés en une vingtaine de minutes et ensuite parce qu’il ne faut pas être un grand chef culinaire pour réussir avec brio cette recette !
Monsieur étant un fada de la cuisine épicé, on a choisi le kit Fajitas tomates & poivrons. Kit qui a deux poivrons sur trois et qui donc est un plat moyennement épicé.
Le soir même, MonsieurGruyère et moi-même sommes passés aux fourneaux et en moins de deux, nous étions déjà à table en train de nous lécher les babines tellement ça sentait bon dans la cuisine.
Après le roulage de fajitas, l’assaisonnement et compagnie, je goûte. Première bouchée tout va bien. C’est même bon. Deuxième bouchée, ça va un peu moins bien. Troisième bouchée, je commence à pleurer tellement c’est épicé.
(Et pourquoi je suis la seule à pleurer, hein ?)
Alors Monsieur Old El Paso, je vous le demande, on ne trouvera jamais un kit fajitas ou tacos avec trois poivrons sur trois ?
Juste pour savoir et conserver mes papilles en sécurité.
Paris la belle, Paris capitale, Paris ville Lumière, Paris la jolie, Paris ville des amoureux, Paris ville attractive, Paris la mythique…
Et si demain, j’avais l’occasion de faire mes valises pour un week-end à Paris ? Et si je devenais Parisienne durant 48heures en compagnie de MonsieurGruyère, quel serait mon journal de bord ? Venez donc, entrez dans mon rêve et suivez le guide…
On irait sans nul doute au pied de la Tour Eiffel, se mêler aux touristes pour prendre des photos de la dame en fer. // On déjeunerait la tête dans les nuages avec le restaurant aérien de la tour Eiffel dénommé le Nomiya. // On flânerait au musée de Versailles et je traverserai telle une princesse la galerie des glaces.
Puis on gouterait des macarons Ladurée et MonsieurGruyère chanterait « ça m’énerveee ». // Ensuite, on visiterait le musée du Louvre une deuxième fois, et j’admirerais les tableaux et peintures. // On irait pique-niquer sur les quais de la Seine en compagnie d’oiseaux en tout genre.
Je retournerai en enfance en faisant un tour de carrousel pour le plus grand malheur de MonsieurGruyère. // On vivrait au rythme de Walt Disney et on découvrirait au théâtre Mogador la fameuse comédie musicale du Roi Lion. // Et pour épaissir mon journal de bord, je vous laisse écrire la suite…
Amateurs et amatrices de chewing-gum, j’ai quelque chose de grave à vous annoncer. Mais de grave dans le bon sens du terme hein.
Après les produits de beauté bio & les couches pour bébé bio… voilà-t-il pas que le marché de l’écologie vient assaillir le marché du… chewing-gum !
Si si, je vous assure. Ce ne sont pas des balivernes, j’ai découvert ça l’autre jour en regardant l’émission La matinale sur Canal+ (l’avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt, vous voyez ?)
Et je peux vous dire que cette nouveauté m’a plutôt fait sourire, car je suis une grande consommatrice de chewing-gum, pour le plus grand malheur de MonsieurGruyère.
Je ne compte pas combien de chewing-gum je peux manger en un jour car ça ferait très très peur.
Depuis le temps que j’en consomme, je suis devenue une vraie professionnelle pour cacher mes mâchouillements du public. Quand j’étais au lycée par exemple, je ne me suis jamais fait prendre. J’étais super fière et mes copines plutôt jalouses, car elles, elles se faisaient engueuler par les profs qui se disaient intraitables quant à la question du chewing-gum.
Blogueuse expatriée dans le Pôle Nord de la France qui est partagée entre littérature, séries chouchoutes, études, beauté et quelques autres addictions. Mais elle se soigne...