Le temps d’une journée, je me transforme en Mère Noël histoire de vous gâter quelques semaines avant le jour J tant attendu par les petits mais aussi par les plus grands.

C’est pour ça que BNP Paribas et YouGether ont décidé de vous faire gagner à vous lectrices, 50 places (2×25) de cinéma pour fêter la sortie du 2ème volet d’Arthur et les Minimoys « Arthur et la vengeance de Maltazard ».

Pour participer et gagner, c’est simple, il suffit de cliquer sur « obtenir 2 places pour le film ». Il n’y a pas de tirage au sort, c’est à dire que les plus rapides d’entre vous seront les premiers servies.

Je suis une fan de Twilight et de tous ses dérivés. Mais une fan qui sait se contenir.

Non je ne suis pas comme ces midinettes françaises qui se font filmées pour AlloCiné et qui crient comme si elles étaient des vaches qui passaient à l’abattoir.

Non je n’achète pas tous les magasines qui ont en couverture Robert Pattinson, Kristen Stewart, Nikki Red, Taylor Lautner ou Ashley Greene.

Non je ne crie pas Robbbbberttttt Pattiiiiinson dès qu’il y a un reportage sur Twilight à la télévision ou à la radio.

Non vraiment, je sais me contenir.

En matière de beauté et tout le tintouin, en général j’ai assez peu de choses à dire, étant donné que je ne me maquille pas (le mascara transparent ça compte ? et le stick à lèvres ?).

Ma Soeurette par contre est la première à se pouponner le matin au réveil. Et donc, un jour, elle me propose de tester mes talents de coiffeuse in direct live dans la salle de bains. Notre salle de bains.

Elle veut que je lui fasse sa coloration du cuir chevelu. Rien que ça tiens.

Donc je m’exécute, je suis très serviable quand j’en ai envie. Je m’exécute même si en général on me dit que j’ai deux mains gauches, pas des doigts de fée. Mais l’important est de rendre service non ?

On prépare toute la préparation de la couleur sur le plan de travail de la double vasque. Et c’est parti mon kiki comme dirait l’autre.

Je prends le pinceau pour appliquer la couleur toute visqueuse sur la tête de ma Sœurette. Première application, tout va bien dans le meilleur des mondes. C’est que ça pourrait paraître presque chouette de colorier le crâne de sa sœur, dites-donc.

- Ceux ou celles qui boivent au goulot d’une bouteille. Ça peut paraître très sexy dans un épisode de Sex and The City, lorsque Carrie se lève en plein milieu de la nuit parce qu’elle a une envie subite de lait (portant comme pyjama l’une des chemises à carreaux de Big, qui à elle lui va deux fois trop grande et lui arrive à mi-genou) et se dirige vers le frigo américain pour satisfaire son manque de calcium en buvant directement au goulot. Ben oui, à la bouteille paraît que c’est meilleur. En réalité dans la vraie vie, boire à la bouteille c’est pas propre.

- Ceux ou celles qui ont des préjugés sur les Littéraires. Laissez-moi vous expliquer. Ça m’arrive parfois de faire des erreurs de français à l’oral. C’est parce que je ne suis pas un dictionnaire ambulant incorporé avec le bescherelle. Les erreurs qui m’arrivent le plus souvent sont de dire chevals ou orals… entre autres. (j’ai honte) Mais ça m’échappe, ce n’est pas ma faute. Et quand c’est sorti, c’est trop tard. Toujours est-il que ce n’est pas beau de faire des fautes à l’oral. Mais moi, qui suis en L, je n’ai absolument pas le droit de faire ces fautes-là. Logique. Alors toi, qui a fait des études scientifiques, tu vas devoir résoudre le problème suivant : combien font 28²x(34-(-256))^4 ? Merci.

Le contenu des sacs des filles, ça pourrait presque être une affaire d’état.

C’est bien connu, les sacs des filles sont un peu comme le sac de Marry Poppins. On a l’impression qu’il n’y a rien comme dedans ou presque, mais plus on en sort plus il y en a. C’est bien connu, non ?

Moi c’est simple, j’entretiens un rapport assez complexe avec mon sac. Il est pratique, c’est d’accord. Il n’est ni moche, ni beau à couper le souffle.

Parfois mon sac se rebelle, il décide de faire le chiant. - je suis sûre que ça vous arrive à vous aussi - Mise en situation : je suis à la caisse d’un grand magasin et je m’apprête à payer. J’ouvre mon sac et je commence à farfouiller pour sortir mon porte-monnaie et régler à la caissière. C’est toujours dans des moments pareils que je n’arrive pas à mettre la main sur mon porte-monnaie. Il faut toujours qu’il se soit fourré tout au fin fond de mon sac et bien évidemment je mets plus au moins une minute pour arriver à le dénicher !

La question existentielle du jour est : mais qu’y-a-t-il dans mon sac de filles ?