À nos joies oubliées.

27__.jpgCes trois clichés datent du 2 Septembre 2006. Train direction Douai, il y avait mon prince dedans. J’venais à peine de le quitter qu’il me manquait déjà. Je m’en souviens encore comme si c’était hier : il faisait beau, très beau. Le ciel était bleu. Je ne voulais pas qu’il parte, pas après ces trois semaines de bonheur. Il y avait ma maman qui nous avait accompagné à la gare de Brignoud. À la gare, j’avais pris des photos de tout et de n’importe quoi, je crois que prendre des photos m’empêchait de pleurer. Des photos du petit bonhomme rouge clignotant qui dit STOP quand il ne faut pas traverser le quai, des photos de nos deux reflets dans le distributeur automatique de billets, bref des photos de tout et de n’importe quoi comme je disais. François et moi, on attendait le train et je ne savais pas quoi dire pour dire qu’il allait me manquer terriblement, qu’on se verrait aux prochaines vacances sûrement et que ça allait être dur de retourner chez moi sans lui. Que ça allait être dur de pas pleurer avant qu’il parte. J’ai toujours été assez douée par ne pas craquer devant les gens que j’aime. Lorsque les alarmes de la gare retentirent, j’ai cru qu’il y avait un tremblement de terre, que non ça ne pouvait pas être possible, que je rêvais, que non il n’allait pas repartir à Douai et me laisser toute seule… Mais malheureusement le train direction Douai l’attendait, et de pied ferme. Les barrières descendaient doucement, vraiment très doucement. Alors, il commença à faire ses adieux. D’abord à ma mère, puis ce fut mon tour. Ce fut nos derniers baisers avant qu’il ne parte loin, trop loin…

27__.jpgCes trois clichés datent du 2 Septembre 2006. Train direction Douai, il y avait mon prince dedans. J’venais à peine de le quitter qu’il me manquait déjà. Je m’en souviens encore comme si c’était hier : il faisait beau, très beau. Le ciel était bleu. Je ne voulais pas qu’il parte, pas après ces trois semaines de bonheur. Il y avait ma maman qui nous avait accompagné à la gare de Brignoud. À la gare, j’avais pris des photos de tout et de n’importe quoi, je crois que prendre des photos m’empêchait de pleurer. Des photos du petit bonhomme rouge clignotant qui dit STOP quand il ne faut pas traverser le quai, des photos de nos deux reflets dans le distributeur automatique de billets, bref des photos de tout et de n’importe quoi comme je disais. François et moi, on attendait le train et je ne savais pas quoi dire pour dire qu’il allait me manquer terriblement, qu’on se verrait aux prochaines vacances sûrement et que ça allait être dur de retourner chez moi sans lui. Que ça allait être dur de pas pleurer avant qu’il parte. J’ai toujours été assez douée par ne pas craquer devant les gens que j’aime. Lorsque les alarmes de la gare retentirent, j’ai cru qu’il y avait un tremblement de terre, que non ça ne pouvait pas être possible, que je rêvais, que non il n’allait pas repartir à Douai et me laisser toute seule… Mais malheureusement le train direction Douai l’attendait, et de pied ferme. Les barrières descendaient doucement, vraiment très doucement. Alors, il commença à faire ses adieux. D’abord à ma mère, puis ce fut mon tour. Ce fut nos derniers baisers avant qu’il ne parte loin, trop loin…

(Lire la suite…)


Mèreveilleuse.

Sextupl_s.jpg

Ce soir, j’ai regardé sur Téva un reportage d’Extraordinary People. Il filmait au quotidien la vie d’une famille composé de 8 enfants : des jumelles et des sextuplés ! J’ai trouvé ce reportage vraiment fascinant, la mère était très organisée. Elle collait des pots-it de partout dans la maison tandis que le père était très calme. S’occuper de 8 enfants, je trouve ça vraiment extraordinaire. Sans vouloir tomber dans l’humour ridicule et faire un jeu de mot à deux francs six sous, on est bien d’accord. Cette famille est plus qu’organisée, ils suivent un emploi du temps cadré à la minute, c’est impressionant. Et vous, qu’est-ce que vous en pensez ? Vous vous sentez capable de gérer une famille composée de 8 enfants ?

Sextupl_s.jpg

Ce soir, j’ai regardé sur Téva un reportage d’Extraordinary People. Il filmait au quotidien la vie d’une famille composé de 8 enfants : des jumelles et des sextuplés ! J’ai trouvé ce reportage vraiment fascinant, la mère était très organisée. Elle collait des pots-it de partout dans la maison tandis que le père était très calme. S’occuper de 8 enfants, je trouve ça vraiment extraordinaire. Sans vouloir tomber dans l’humour ridicule et faire un jeu de mot à deux francs six sous, on est bien d’accord. Cette famille est plus qu’organisée, ils suivent un emploi du temps cadré à la minute, c’est impressionant. Et vous, qu’est-ce que vous en pensez ? Vous vous sentez capable de gérer une famille composée de 8 enfants ?

(Lire la suite…)


Un gazouilleur dénommé Lohan.

Lohan1.jpgIl était une fois un petit gazouilleur dénommé Lohan, un petit gazouilleur de plus dans ce merveilleux monde. Lohan est le fils de Ludvine, une jeune femme de 26 ans que j’ai connue sur un t’chat (vive internet!). Lohan est né le 16 novembre - le jour de ma fête d’ailleurs, c’est un signe ça, il va devenir un bon petit bonhomme - il pèse 2,510 kilos pour 50 centimètres. Lohan, bienvenue parmi nous. Je te souhaite tout le bonheur du monde, ainsi qu’à ta maman. Ludivine c’est en quelque sorte mon modèle féminin. Ouais, c’est mon modèle féminin parce qu’elle a réussi sa vie de couple, sa vie de femme, et bientôt sa vie de mère. J’espère que son bébé sera en parfaite santé et qu’il aura une vie merveilleuse, mais je sais qu’elle lui apportera tout ce dont il mérite. J’avais promis de ne pas faire pleurer la nouvelle maman, j’espère que j’ai tenu ma promesse, sinon je lui offre un paquet de mouchoirs ! Je vous souhaite tout le bonheur du monde - celle-ci était assez facile, j’avoue - Que santé, bonheur, joies, et découvertes accompagnent ta nouvelle vie petit Lohan.


Ska-P.

Escape_album.jpg

Aujourd’hui, je vais vous faire partager mes goûts musicaux, juste après avoir installer une mini-radio sur ce blog (que j’ai d’ailleurs pu installer grâce à cela), pour l’écouter il suffit de cliquer http://touwity.free.fr/radio. Voilà, vos oreilles sont au 7ème ciel (oui parce que j’ai de bons goûts musicaux) je vais désormais pouvoir vous présenter un groupe espagnol de ska et de punk dénommé Ska-P. C’est un groupe qui s’est fondé en 1994, à Vallekas. C’est un quartier ouvrier de Madrid qui a une longue tradition de lutte contre la dictature, où les gens avaient appris à survivre en ignorant l’Etat, quand ce n’était pas carrément en l’affrontant. Ska-P au départ, c’est cinq gars de la classe ouvrière qui expriment leur colère à travers la musique en créant un groupe. Et ils décident de mettre une bande-son à tout ce qu’ils voient, à tout ce qu’ils sentent. Ainsi est né le groupe. Le nom du groupe vient évidement de leur genre musical mais également d’un jeu de mot. Les espagnols prononcent Ska-P : escape, qui veut dire s’échapper. Ska-P c’est Pupul aux vocales et à la guitare, Paco à la batterie, Julio à la basse, Kogote aux claviers et Toni à la guitare … Ska-P c’est aussi 6 membres principaux : Pulpul, Pipi, Joxemi, Kogote, Julio, Luismi ! 2 musiciens accompagnateurs : Gari et Txikitin. Mais aussi 2 ex-membres : Yanclas en 1994 (ex-guitariste) et Pako en 1998 (ex-batteur). Ska-P reste définitivement un groupe à écouter sans modération.

Escape_album.jpg

Aujourd’hui, je vais vous faire partager mes goûts musicaux, juste après avoir installer une mini-radio sur ce blog (que j’ai d’ailleurs pu installer grâce à cela), pour l’écouter il suffit de cliquer http://touwity.free.fr/radio. Voilà, vos oreilles sont au 7ème ciel (oui parce que j’ai de bons goûts musicaux) je vais désormais pouvoir vous présenter un groupe espagnol de ska et de punk dénommé Ska-P. C’est un groupe qui s’est fondé en 1994, à Vallekas. C’est un quartier ouvrier de Madrid qui a une longue tradition de lutte contre la dictature, où les gens avaient appris à survivre en ignorant l’Etat, quand ce n’était pas carrément en l’affrontant. Ska-P au départ, c’est cinq gars de la classe ouvrière qui expriment leur colère à travers la musique en créant un groupe. Et ils décident de mettre une bande-son à tout ce qu’ils voient, à tout ce qu’ils sentent. Ainsi est né le groupe. Le nom du groupe vient évidement de leur genre musical mais également d’un jeu de mot. Les espagnols prononcent Ska-P : escape, qui veut dire s’échapper. Ska-P c’est Pupul aux vocales et à la guitare, Paco à la batterie, Julio à la basse, Kogote aux claviers et Toni à la guitare … Ska-P c’est aussi 6 membres principaux : Pulpul, Pipi, Joxemi, Kogote, Julio, Luismi ! 2 musiciens accompagnateurs : Gari et Txikitin. Mais aussi 2 ex-membres : Yanclas en 1994 (ex-guitariste) et Pako en 1998 (ex-batteur). Ska-P reste définitivement un groupe à écouter sans modération.

(Lire la suite…)