L’abus des sims 3 est dangereux pour la santé.
10 Août
Un petit retour en arrière s’impose pour comprendre les circonstances du drame. Il y a donc 63 jours, j’ai reçu dans ma boîte aux lettres, l’objet convoité, mon précieux pour tout vous dire.
À ce moment-là, j’étais en pleine révision du baccalauréat, plongée entre mes fiches de littérature sur Roméo et Juliette et entre mes cartographies de géographie, l’objet de convoitise tombait plutôt à la plus mauvaise période de l’année pour tout vous dire.
Soit. L’objet tant convoité est bel et bien les Sims 3, que j’ai reçu le jour de sa sortie officielle le 8 juin. Il me faisait les yeux doux, me regardait tendrement du coin du bureau à côté de l’ordinateur. Il me criait presque « allez fais juste une toute petite partie, teste-moi, essaie-moi ».
Mais j’ai tenu bon. Je me suis juste créé une famille, histoire de découvrir les nouveautés du jeu et le nouveau design qui j’avoue est plus que top, histoire de voir les nombreuses possibilités pour décorer et personnaliser entièrement tous les meubles de la maison, les vêtements, le sol, les tapisseries… et j’en passe et des meilleurs.
Et je n’y ai plus touché jusqu’à la fin du bac.
Puis j’ai craqué chez MonsieurGruyère. Lui jouait sur son ordinateur et moi sur son autre ordinateur portable. Je suis devenue accro en moins de deux jours. Je ne voyais plus défiler les heures, je pouvais passer l’après-midi sur ce jeu : je ne m’en rendais absolument pas compte !
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