Ah bon ? Demandez un peu à mes hanches et à mes fesses, vous allez voir.

Tout ça, c’est à cause/grâce au rapport fusionnel que j’entretiens avec le sucre. J’aime manger un yaourt qui croustille et craque sous la dent et je n’ai jamais bu une tasse de thé sans sucre. Enfin je n’ai jamais appris.

Alors quand Pure Via m’a proposé de tester une nouvelle façon de sucrer mon thé et mon yaourt, j’ai dit oui oui oui. Et je suis allée me préparer à apprendre à sucrer différemment.

Quelques jours plus tard, est arrivé dans la boîte aux lettres le colis tant attendu. J’ai reçu le kit du parfait petit-déjeuner : une tasse, du jus d’orange, une petite cuillère, des céréales, du thé et une boîte de Pure Via morceaux.

Le sucre en morceaux Pure Via, c’est quelque peu une nouveauté. Vous dire que je l’ai reçu en exclusivité serait vous mentir, mais vous pouvez désormais le trouver en grande surface depuis début avril, à côté de leurs confrères Stick et Poudre Pure Via (élu produit de l’année).

Alors qu’est-ce que le sucre Pure Via ? Que les édulcorants tremblent !

Pure Via est élaboré à partir du plus pur extrait de la plante Stévia et d’autres ingrédients d’origine naturelle. C’est cette composition qui donne aux morceaux une texture proche de celle du sucre et un bon goût sucré, sans les calories.

Dans certaines régions du monde, la plante stévia est utilisée depuis des siècles pour ses vertus naturellement sucrantes. Le Rébaudioside (Reb A), extrait de la plante Stévia, possède en effet un pouvoir sucrant intense, 200 fois supérieur à celui du saccharose, avec l’incroyable particularité d’être acalorique, car non assimilé par l’organisme.

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Je suis dans ma période fleur de coton. J’ai découvert cette fragrance en achetant le déodorant Monsavon au lait (douceur naturelle lait et coton) et depuis je suis totalement fanatique de cette senteur.

À chaque fois que j’hume cet arôme, j’ai l’impression de redécouvrir un parfum poudré, un peu comme une odeur de bébé propre…

Alors quand j’ai découvert ce zeste fraîcheur pour cheveux en flânant dans les rayons du supermarché, il est atterri dans le panier en moins de deux. En fait, je crois même que j’ai développé un radar qui décèle l’expression « fleur de coton » sur les produits de beauté.

Ce qu’en dit la marque : « En un seul geste vos cheveux sentent le frais et le propre avec le zeste fraîcheur. Sans rinçage, il s’applique en quelques vaporisations sur cheveux secs ou humides. Il absorbe et élimine les odeurs de tabac et de cuisine de vos cheveux, sans les alourdir. »

Le zeste fraîcheur Le Petit Marseillais est composé entre autres de fleur de coton, qui est réputée pour ses vertus adoucissantes et d’huile d’amande, qui est utilisée pour ses propriétés adoucissantes et hydratantes.

Après l’avoir testé, retesté et reretesté, je l’ai adoré.

Sa première promesse ? « Il absorbe et élimine les odeurs de tabac de vos cheveux. » J’ai pu expérimenter en condition assez facilement. Merci les copines, merci la famille. Il n’a pas échoué, mes cheveux ne sentent plus le tabac froid.

Sa deuxième promesse ? « Vos cheveux sentent le frais et le propre. » Mise à part qu’il faut pulvériser ses cheveux en maintenant le spray assez loin, car sinon les cheveux sont rapidement mouillés. Je peux vous dire que mes cheveux sentent divinement bon. Un mouvement de cheveux, une brise d’air et l’odeur de ce zeste fraîcheur est démultipliée.

Adopté !

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L’autre jour, j’ai subi le pire crime capillaire qui soit.

J’ai même failli hurler, pleurer, frapper la coiffeuse, lui arracher les cheveux et les yeux (oui tout ça à la fois) en sortant du salon de coiffure. Ma hantise des coiffeurs serait-elle fondée ?

Flashback.

Lundi dernier, je suis allée affronter ma phobie des coiffeurs. Je profitais d’un bon groupon qui comprenait shampoing, coupe, balayage, brushing et siège massant. Je voulais éclaircir ma couleur qui est châtain foncé. Je précise à la coiffeuse que je veux quelque chose de naturel.

Elle me dit qu’elle comprend ce que je veux et file en arrière boutique pour faire des mélanges. Elle revient cinq minutes plus tard avec son petit chariot rempli d’ustensiles à coiffure.

J’inspire profondément et croise les doigts très fort pour qu’elle ne me rate pas.
Je n’ai pas peur. Je n’ai pas peur. Je n’ai pas peur.

Au fur et à mesure, je me transforme en sorte d’arbre de Noël avec toutes ces papillotes de papier aluminium. La coiffeuse me dit qu’il faut maintenant attendre que la couleur prenne.

Super.
Je n’ai pas peur. Je n’ai pas peur.

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Depuis des années, j’ai une relation quasi-fusionnelle avec mon réveil.

Quasi j’ai dit.

Il est des jours où je l’aime d’amour et des jours où j’ai envie de l’envoyer valser à l’autre bout de la chambre pour avoir osé m’avoir réveillé en plein milieu d’un joli rêve.

Dans les faits, mon réveil c’est mon téléphone portable.

Tous les matins à 6h30 je l’entends chanter crescendo « On the floor. Brazil, Morocco, London to Ibiza, Straight to LA, New York, Vegas to Africa. Lalalalalalalalalalala » alors je le cherche à tâtons sur la table de nuit pour l’éteindre le plus vite que possible et reporter le réveil 10 minutes plus tard. Ça peut durer 40 minutes comme ça tous les matins.

Et puis un jour Morphée est venu interrompre un rêve plutôt dérangeant… vous avez déjà rêvé de perdre toutes vos dents et de les avaler une à une ? Moi oui.

Il m’a alors demandé : « mais mon cher enfant, tu ne connais pas le simulateur d’aube ? » J’ai répondu « Bah non. C’est quoi ce machin-là ? »

Et puis mon rêve s’est totalement transformé. Morphée en est le protagoniste essentiel et il porte une moustache. Une moustache avec des ailes de papillon dans le dos. Là, il m’invite à rejoindre un pupitre et il commence son histoire.

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J’ai l’occasion de… Petit florilège :

♥ Dormir en position d’étoile de mer dans le lit, pouvoir prendre l’édredon et les deux oreillers.

♥ Chanter à tue-tête sous la douche sans entendre hurler de rire l’homme dans la pièce à côté.

♥ Choisir le programme télé du soir sans parlementer. (Ah tiens ce soir il y a Joséphine, ange gardien).

♥ Faire pipi la porte ouverte.

♥ Regarder des films à l’eau de rose sans culpabiliser de monopoliser la télévision.

♥ Oublier de répondre à la question existentielle « on mange quoi ce soir ? ».

♥ Parler toute seule devant l’ordinateur, la télévision ou aux chats.

♥ Finir de manger tous les petit-suisse à la framboise.

♥ Laisser traîner tout un tas de choses sur le lit et dans la salle de bains.

♥ Faire un masque à l’argile sans pour autant effrayer qui que ce soit.

♥ Pleurer comme une madeleine devant Desperate Housewives ou Grey’s Anatomy.

♥ …