Comme promis et comme je vous l’avais annoncé, le nouveau thème et la nouvelle bannière sont en ligne.

Youhouuuu ! Youpiiii tralala !

Pour le thème, on dit merci à mes yeux injectés de sang qui ont du visionner au minimum environ 200 thèmes. Mais pour la bannière, on dit encore mille fois merci à Boo, qui a supporté mes humeurs, mes envies et ma maniaquerie excessive.

Je ne vous explique même pas comment j’ai été exigeante. Mise en situation : tu peux pas plutôt centrer l’ordinateur portable vers la gauche ? Puis tu peux réduire l’écart entre les cadres photos ? Tu ne peux pas rajouter une barre de tâches sur le fond d’écran de l’ordinateur ? Les pots-it, tu penses qu’ils sont bien là où ils sont ?

Au bout d’un nombre incertain de mails, de longues conversations, d’une bonne vingtaine de version différentes… elle est arrivée à cerner la bannière que je voulais.

Je vous présente donc mon bureau de blogueuse, accompagné du lapin crétin, d’un cactus (seule plante que je peux m’occuper sans la laisser mourir), des encas du moment…

Et caetera.

Je crois que je suis en train de devenir folle voire totalement dingue.

Mon ordinateur a été infecté par je ne sais quel virus, mais vu que je suis une bille en informatique je suis incapable de le soigner et de le bichonner pour qu’il ne soit plus malade.

Du coup, je ne peux plus regarder mes séries d’amour. Du moins, mon lecteur VLC que j’aime plus que tout (il ne faut pas que je le vexe) décide de travailler quand il le veut. Il lit très les bien les épisodes de Smalville, de Private Practice, d’NCIS ou de 90210.

Et ça, c’est grâce à une technique infaillible : je regarde mes séries non pas en mode plein écran mais en mode petit écran. Sur mon écran 19 pouces, je regarde l’épisode comme sur un écran de portable. Je ne vous dis même pas comment ça me picote les yeux quand j’essaie de décortiquer les sous titres… C’est très pratique.

Malheureusement ma technique infaillible ne fonctionne pas toujours (à mon grand désespoir), les épisodes de Lost ou de Desperate Housewives, je peux toujours courir pour voir ne serait-ce que 5 minutes d’épisode. Je me fourre le doigt dans l’oeil jusqu’à l’omoplate comme dirait l’autre.

Monsieur VLC bug, ne démarre pas ou bien lit l’épisode pendant 1 voire 2 minutes puis l’image s’arrête mais le son continue. J’avoue que pour la compréhension ce n’est pas ce qu’on ait pu faire de mieux.

Alors j’en suis arrivée à cette maudite conclusion : tandis que d’autres personnes sont accros à l’héroïne, au tabac ou au chocolat… moi je suis accro aux séries et quand je ne peux pas les regarder, je suis, comme on dit dans le langage pseudo-médical, en manque.

Mon préciiiiiieux.

Je reviendrai quand je me serai calmée ou bien quand je ne serai plus en manque. À voir.

Depuis l’épisode 1 de l’oscar des émissions télévisuelles, je suis toujours accro et addict à la télévision.

Cependant aujourd’hui j’aimerai fonder le comité expédition sauvons la télévision des émissions poubelles. Non, mais attendez vous ne trouvez pas que l’on supprime tous les programmes intéressants voire amusants pour nous mettre à la place des émissions débiles ?

Ceci étant dit… depuis l’épisode 1, je zappe toujours autant pour arriver à trouver une émission intéressante, rigolote voire bidonnante. Moi j’aime rigoler, oui oui.

Des fois, je trouve des émissions que j’aime d’amour, parce qu’à force de chercher, on trouve non ? Et parfois j’aime d’autant plus la télévision, ce qui me conforte dans l’idée que je suis accro à la télé, surtout quand il s´agit d´une télévision Sony KDL-32W4000. C’est un cercle vicieux tout ça.

Alors aujourd’hui je vous livre mon top 5 des émissions télés auxquelles j’aimerai participer.

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Tous les deux mois, je passe par l’expédition qui consiste à commander des billets de train en ligne chez la SNCF pour aller rejoindre MonsieurGruyère. Sur internet, c’est mieux qu’à la gare : il y a les billets preum’s et puis pas besoin d’aller affronter le froid pour revenir avec les doigts et le nez congelés.

Commander ses billets online, c’est pire qu’une expédition qui peut parfois vite tourner au cauchemar.

Comment ça j’exagère ? Je vous raconte.

Vendredi, après avoir trouvé une formation post-bac de la mort qui tue, j’ai voulu réserver les billets de train pour les vacances de février. Depuis le temps que je surfe sur la vague SNCF, je commande mes billets de manière machinale. Je compare les prix avec tous les trajets possibles (Grenoble-Douai via Valence, Grenoble-Douai via Lyon, Grenoble-Lille, Valence-Douai et j’en passe) puis je réserve.

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Quand j’étais petite, je voulais devenir Princesse, comme toutes les petites filles. Finir ma vie avec le Prince Charmant. À la sauce de, ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants… blablabla.

Plus tard, je voulais devenir architecte. Je dessinais des plans de maison sur chaque feuille qui traînait dans la maison. Je me souviens que j’avais même fait une maison ronde. Je l’avais appelée Éolia, ça sonnait bien, c’était beau. Je farfouillais dans les plans de véritables architectes et c’était plus que grandiose.

Est venue plus tard ma période d’architecte d’intérieur. Ce métier me bottait bien et franchement, il paraît que ça gagne bien. Créer des fourchettes design, des assiettes rigolotes, c’était le truc que j’adorais.

Après j’avais décidé de devenir professeur des écoles. C’était en 3ème, après avoir fait mon stage en école primaire et j’avais adoré. Durant toute l’année, je m’étais dit que j’avais trouvé le métier que j’exercerai plus tard. Apprendre des choses aux enfants, c’était énorme pour moi. Mais en fait, c’était juste pour avoir toutes les vacances scolaires je crois, parce qu’aujourd’hui, ce projet a été abandonné depuis bien longtemps.

Depuis mon entrée en seconde, on me rabâche que je dois me créer mon après-bac. Que je dois potasser pour me monter un projet après la terminale. Ça fait 5 ans que je suis au lycée et je ne sais toujours pas quoi faire.

Entre éducateur de jeunes enfants, éducateur spécialisé, bibliothécaire, archiviste, assistant de manager et je ne sais pas quoi encore, mon cœur balance.

Alors maintenant je fais quoi ?