Touwity & The City

Depuis toute petite, j’ai eu la mauvaise habitude de me ronger les ongles.

Et il faut dire qu’il est plutôt difficile de se débarrasser d’une mauvaise habitude. J’ai pourtant essayé quelques astuces pour me défaire de cette manie.

J’ai appliqué du vernis amer pour ne plus me les ronger, mais je me suis habituée à ce goût écœurant plus rapidement que prévu.

J’ai ensuite droit aux remontrances de ma mère « si tu continues de te ronger les ongles, tu vas te faire opérer de l’appendicite ».

Je n’y ai pas cru.

Mais si je vous parle aujourd’hui de cette fichue manie, c’est parce qu’après de très longues années de grignotage d’ongles, j’ai enfin réussi à arrêter.

Alors comment ai-je fait ?

J’ai eu une sorte de déclic en feuilletant les pages du blog de Pshiiit, une passionnée de vernis à ongles, qui transforme chaque vernis en un véritable chef d’œuvre.

Je me suis donc mis au défi d’arrêter de me ronger les ongles pour avoir moi aussi de jolies mains… féminines.

Car il faut bien se l’avouer, des mains rongées jusqu’aux peaux, ce n’est vraiment pas ce que l’on peut trouver de plus glamour.

Pour tout vous dire, j’ai tellement réussi ce défi, que j’ai en quelque sorte craqué sur des vernis aux ongles Kiko.

J’ai même fait un petit pillage chez Séphora en chinant un top coat, un polissoir 4 étapes chrono, des limes à ongles et un repousse cuticule.

Pourvu que ça dure.

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En tant que sérievore (personne qui adore passer la majorité de son temps libre à regarder des séries) qui se respecte, il m’arrive de faire une entorse à mes habitudes.

Parfois, je me laisse tenter du côté obscur de la force et je regarde certains pilotes des séries qui viennent de sortir.

Épisodiquement, j’adhère pleinement au pilote, que je suis forcée d’ajouter la série à ma liste des séries à suivre.

Il est rare que je suive de nouvelles séries car pour qu’une série me plaise, il faut que le pilote m’intéresse absolument.

Si le pilote d’une série ne me plaît pas, je ne regarderai pas un épisode de plus.

C’est le cas de la série Girls par exemple. J’ai regardé le pilote de la série avec beaucoup d’entrain suite aux bonnes critiques qu’a recensé la série. Mais pendant les 40 minutes du pilote, je me suis totalement ennuyée, j’avais l’impression de regarder un épisode de Gossip Girl en version bobo.

Je n’ai pas forcé le destin et mis de côté Girls.

Pourtant cette année 2011 fut un bon crû, car j’ai pu rajouter sept séries à ma liste.

Cette année, j’ai craqué pour les aventures de 2 Broke Girls, Revenge, Awkward, Don’t trust the bitch in apartment 23, Suburgatory, Awake et de Once Upon A Time.

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Le mois dernier, j’ai reçu la Little New-York box et j’avoue avoir été extrêmement déçue par son contenu.

Je m’attendais un peu à être transportée à New-York, un peu comme si je promenais à Central Park à côté de petits écureuils en train de manger un bagel au saumon et au philadelphia. D’ailleurs, je me suis dit qu’il faudrait que je programme une prochaine visite de New York.

J’avais peut-être mis la barre un peu trop haut. Non ?

Sur les cinq produits qui composaient la little box, je n’en ai seulement apprécié qu’un. Et ce n’est pas même pas un produit de beauté, puisque ce sont bel et bien les Oréos que j’ai apprécié.

Ma Little New-York box se composait de :

♥ Un vernis Essie #44 Bahama Mama,
♥ Une Miniature Narcisso Rodriguez « For Her »,
♥ Une crème pour le corps parfumé Narciso Rodriguez,
♥ Un shampoing Redken Color Extend,
♥ Un après shampoing Redken Color Extend.

Je trouve ça dommage d’avoir reçu deux produits qui ne me correspondent pas, d’autant plus que lors de mon inscription j’ai répondu à un questionnaire en indiquant que mes cheveux étaient « raides, épais, insupportables » mais jamais « colorés ».

Le 31 mars, après moult réflexions, je me suis désinscrite de My Little Box.

Il a donc fallu rentabiliser la chose.

C’est avec l’adage « rien ne se perd, tout se transforme » que les 3 My Little Box ont finies en boîte de rangement.

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Ici Pada prenant les commandes du blog de Touwity !

Aujourd’hui, je vais vous faire partager mon test sur le simulateur d’aube de la marque Dayvia.

(et merci encore Touwity de m’avoir donné l’opportunité de faire ce test !)

Fonctions de l’appareil :

– simulateur d’aube : réveil possible avec la radio, des sons pré-enregistrés chants d’oiseaux, vagues, tempête, autres sons de type « relaxation ») ou un son personnalisé en format MP3 (ajouté à l’aide d’une carte SD)

– simulateur de crépuscule

– possibilité de l’utiliser à tout moment en tant que radio / ou pour ses sons pré-enregistrés (je crois que la notice préconisait l’utilisation des mélodies zen pour faire du yoga par exemple)

– lampe de chevet

Jour 1 : le 12/01/12

::: prise en main

– l’objet en soi est blanc et gris, la forme ne fait pas design ultra modern mais l’objet n’est pas moche pour autant : je dirais donc que son apparence est plutôt neutre

– la prise en main de l’objet (c’est à dire le tout premier essai) n’est pas très intuitif il faut donc vraiment lire la notice pour arriver à ses fins (ce qui, me direz-vous est normal)

– la notice est claire

– l’appareil est facilement manipulable mais les boutons (tactiles) nécessitent une appropriation de la chose en plusieurs minutes quand même …

> les plus : pouvoir régler l’intensité de la luminosité de l’affichage de l’heure et des divers boutons (lorsque comme moi, on est assez sensible à la lumière dans sa chambre)

> les moins : la fonction MP3 se fait par carte SD uniquement : le problème donc, il faut avoir une carte SD réservée au réveil…

Test rapide : il est 19h et je veux me rendre compte du fonctionnement du simulateur d’aube (voir si mes réglages ont bien été pris en compte, connaître l’intensité d’éclairage, la progression, …) je le règle donc pour 20h. À 19h30 (ayant mis un réglage de réveil progressif 30 min avant), le simulateur d’aube se met en marche : alors que ma pièce est éclairée (c’était juste pour un petit test je le rappelle), je trouve que l’intensité lumineuse est rapidement très forte. J’espère ne pas être réveillée brusquement demain matin…

Me voilà prête et vraiment très enthousiaste de commencer ce test !

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C’est mon cadeeeeeeeaaaaauuuu.

Vous voyez de quelle publicité je veux parler ? Celle des instants plaisirs de Volkswagen.

Celle où une petite fille ouvre son paquet cadeau lors des périodes de Noël et commence à sauter de partout pour montrer sa joie. Elle crie en dansant « c’est mon cadeeeeeeeaaaaauuuu ». Plusieurs années plus tard, elle se retrouve au volant de sa Golf, retrouve son âme d’enfance et se remet à hurler de joie.

À chaque fois que je vois cette publicité j’ai une envie irréversible de rire à gorge déployée.

Et puis quand je suis passée du côté obscure de la force, c’est à dire passer du BlackBerry à l’iPhone, je crois avoir fait le remakes le plus ressemblant possible de cette publicité.

Quand j’ai reçu le colis contenant mon précieux, j’ai installé tout un tas d’applications aussi futiles qu’utiles (je crois que je vais juger de l’utilité des applications que j’ai téléchargé un peu plus tard).

Puis j’ai découvert l’application Photocabine qui permet de prendre des photos vintages comme dans un photomaton. Je peux suivre mon fil Twitter, Facebook et lire les VDM quand bon me semble.

Ma hantise c’était un peu me sentir perdue face au clavier tactile. Il faut dire que je m’étais habituée au clavier azerty sur le BlackBerry.

En fait, c’était assez intuitif.

Et j’ai personnalisé l’iPhone en changeant le fond d’écran avec un wallpaper liberty, grâce à cococerise.

Bon, le souci est que la portabilité de mon numéro n’a pas encore été faite, du coup j’attends.

Avant j’avais un BlackBerry.
Mais ça c’était avant.