Grey’s Anatomy.

15 sept

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Grey’s Anatomy, je te déclare pour le meilleur et la pire : ma série chouchou du moment.

N’ayant presque jamais regardé un épisode d’Urgences, je me disais qu’il fallait bien commencer par une série médicale.

Et c’est donc chose faite. J’ai achevé la troisième saison, et je veux absolument voir la saison 4 pour savoir ce que sont devenus ces attachants internes !

Malheureusement, petits français que nous sommes devons attendre jusqu’à l’année 2008 pour la saison prochaine, qui d’ailleurs a été validée pour 25 épisodes, qui j’espère seront forts en rebondissements et en émotions.

J’avoue que mon personnage favori est bien celui du docteur Addison Montgomery. En fait, au fur et à mesure des saisons, j’ai apprécié à aimer ce personnage et même à connaître ses sentiments.

Au départ, elle nous est présentée comme une femme qui n’a pas de mœurs étant donné qu’elle a trompé son mari avec son meilleur ami. Cependant, au fil des épisodes, on découvre un autre côté caché d’Addison. Un côté plus attachant puis prenant, et j’adore.

J’aime cette série pour ses petites pointes d’humour, pour les gaffes d’Izzie, les peurs d’O'malley ainsi que les coups de gueule de Bailey.

Alors, accro à Grey’s Anatomy ?

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Le cake au carambar.

5 mai

cake

Ingrédients :

  • 3 œufs
  • 150 g de sucre
  • 150 g de farine
  • 1/2 paquet de levure chimique
  • 150 g de beurre demi-sel
  • 20 carambars
  • 10 cl de lait

Préchauffer le four à 180°C.

Prendre une casserole, ajouter les 20 carambars, le beurre salé, et le lait.

Faire fondre la préparation à feu doux en remuant régulièrement pour éviter que les carambars collent trop vite à la casserole en fondant.

Ensuite dans un saladier, mélanger la farine, la levure, le sucre et les oeufs.

Lorsque que la préparation carambar, beurre salé est fondue, la rajouter dans le saladier. Bien mélanger. Verser le contenu du saladier dans un moule à cake. Enfourner 40 minutes au four.

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Journée nationale du sommeil, vous aussi vous rêvez ?

15 mar

Voici venu le temps du mini-concours sur le rêve.

Je vous explique brièvement, le principe est simple : ceux qui souhaitent nous faire partager un de leur rêve, mettrons un petit mot pour participer au concours.

Au bout d’un certain temps, vous élirez le meilleur rêve. Attention vous ne pouvez pas voter pour votre rêve. À vos claviers !

J’en profite aussi pour vous parler de la journée nationale du sommeil : « la nuit, le cerveau n’est pas au repos : Les rêves font partie de l’imagerie nocturne. Le rêve est aussi gardien du sommeil. Les rêves sont des phénomènes indispensables à la vie psychique. Le rêve est la satisfaction d’un désir inconscient. Tout rêve constitue une tentative d’écarter ce qui trouble le sommeil et cela par le moyen d’une réalisation de désir ».

Vous pourrez en apprendre encore plus sur l’exposition sur le sommeil. Bonne chance à tous et à toutes !

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Roulés de pâte feuilletée à la moutarde.

4 fév

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Ingrédients :

  • 1 pâte feuilleté
  • 2 tranches de jambon
  • de la moutarde
  • du gruyère
  • Herbes de Provence
  • Paprika

Dérouler la pate feuilleté. Appliquer à l’aide d’un pinceau, la moutarde sur toute la pâte feuilleté.

Déposer dans la longueur les 2 tranches de jambon. Parsemer le gruyère sur la pâte puis ajouter, herbes de provence et paprika selon convenance.

Rouler le tout. Découper avec une paire de ciseaux ou un couteau, le roulé. Déposer les roulés sur une plaque.

Faire chauffer, thermostat 7, pendant environ 10 minutes.

Servir tiède en apéritif ou accompagné d’une salade. Et bon appétit bien-sûr !

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Adolescente à Auschwitz.

17 sept

coupable

Témoignage poignant d’une jeune enfant de 13 ans déportée à Aushwitz. Dans le camp de la mort, elle a perdu père, mère … famille. Pour elle, il s’agissait de survivre en enfer, puis de vivre. Aujourd’hui, elle nous conte son histoire :

.

C’était bien mon père que je voyais me sourire d’une sourire qui me fait encore si mal aujourd’hui. Dieu ! qu’il me fait mal encore à cet instant. Il eut juste le temps de me demander où se trouvait ma mère. Un S.S approche et lui aussi sourit « Qui est-ce ? me demanda-t-il , c’est ton père ? » Et moi toute heureuse, dans un souffle, brisée par l’émotion, je lui dis que oui, que c’était bien mon papa. « Tu veux l’embrasser ? » me demanda-t-il encore. Ne pouvant plus parler je répondis par un mouvement de la tête. Souriant à nouveau, il fit signe à mon père d’approcher tout en me poussant dans sa direction. Alors moi, je cours, je me précipite. Papa, de son côté me tend les bras. C’est alors que le S.S, qui m’a suivie jusqu’à lui, fait mettre mon pauvre père à genou et lui tire une balle dans la tête. Il fait cela ici, sous mes yeux ! Comment dire mon horreur, mon épouvante ? Mon cher papa vient d’être assassiné, froidement, alors que la guerre est en train de se terminer, foudroyé par un « homme » Jamais ! Non, jamais je ne pourrai oublier ni même pardonner ! Je ne pus même pas pleurer tant ma douleur était intense, intolérable, inhumaine … (Simone Lagrange)

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